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La photo du jour

Mer 24 aout 2022 : Ils l'ont fait ! / #Petit Coeur de Beurre & #En Coeur

Etape 3

11 Août 2014

Jaromer - Pardubice (Rép. Tchèque)

La pluie comme compagnon de route

 

Valentin :

Elle ne nous aura pas quitté, à partir du moment où nous avons chargé nos vélos jusqu’à notre destination du jour Pardubice. Elle : la pluie tantôt légère, tantôt en trombe d’eau, mais toujours là, un véritable déluge d’eau toute cette journée.

Lorsque nous nous somme levés ce matin nous savions que la météo n’était pas trop favorable, alors pour cette 2ème étape la pluie n’était pas le plus important. La seule question que se posait mon papa : est-ce que les améliorations apportées à la carriole pour faire face à la pluie seraient efficaces pour protéger Alizée ? Nous allions être fixés assez vite.

L’étape du jour se divise donc en 2 parties à peu près égales en termes de kilomètres, mais pas en termes d’environnement de roulage. La première partie, piste le long du Labe (Elbe en Tchèque), la deuxième partie sera au contact des voitures. Avec la pluie c’est toujours délicat d’être en vélo sur une route fréquentée. Au moins une chose est sûre, il n’y aura aucun col à franchir…

Cette piste cyclable, sur les 30 premiers kilomètres, est comme hier très belle et bien entretenue, au plus près du fleuve. Je ferai cette partie en follow me jusqu’au moment où la pluie tombera trop fort et la température descendra aux alentours de 15 degrès. Frigorifié je préfère rejoindre ma petite sœur dans la carriole au chaud. La réponse que papa se posait se matin est positive, la carriole est bien isolée par le dessous. Il y a un problème, le dessus n’est plus trop imperméable le toit est humide. Il faut dire que de l’eau il en tombe beaucoup. Je suis un peu trop petit pour ma carriole et je frotte la tête au plafond qui est humide et pour le coup j’ai les cheveux mouillés.

Une première halte au bord du fleuve sous les arbres à l’abri de la pluie permet à maman de nourrir Alizée. Je suis de bonne humeur et je fais un peu le clown pour me réchauffer

Fin de la première partie de l’étape et halte dans une ville qui s’appelle Hradec Kralové. Le centre de cette ville possède une place avec beaucoup de bâtiments art nouveau que maman veut voir.

On repart et pour le coup nous sommes sur la route au milieu des voitures qui roulent très vite mais laissent la distance de sécurité avec nous. Comme hier l’étape est difficile pour maman qui a du mal a bien rouler. Les abris bus sur le bord de la route seront nos refuges pour les 2 autres haltes de la journée.

Enfin nous arrivons à Pardubice, l’hôtel est encore fois super (merci maman !) Alizée sera l’attraction des employés qui hallucinent de voir la petite dans la remorque. Ils voudront la prendre dans les bras (photos). Malgré une météo médiocre des tétées exotiques et des changements de couches tout aussi folkloriques, ma petite sœur a été facile sauf les derniers kilomètres où elle pleurait et il a fallut que j’invente des chansons pour la calmer.

Maman espère vraiment que demain sera une étape avec soleil et sans montée…

 

 

 Alizée :

 Nous quittons Jaromer pour Pardubice sous la pluie. Pour ma part ça ne me dérange pas, je suis dans ma carriole mais pour Papa et Maman c’est une autre histoire. J’ai passé pratiquement tout mon temps à dormir, qu’est ce que c’est agréable la carriole, je dors bercé par le roulement. Je me réveille 2 fois pour manger sous la pluie mais aucun problème je suis équipée. Il y a juste les 7 derniers kilomètres que je n’ai pas apprécié, j’en avais un peu marre d’être allongé, heureusement que mon frère me chantait des chansons…Lesquels ? C’est un secret entre lui et moi !

Arrivé à l’hôtel, j’ai la cote avec les employés de l’hôtel. Elles me prennent dans les bras, me font des bisous… C’est cool !!!

Pour maman c’est plus difficile que pour papa cette année. A vrai dire elle est plus chargée que l’année dernière : bagages + fellow-me et le vélo de Titi, il pèse 1 tonne. Du coup elle a vraiment beaucoup de mal à avancer surtout quand elle tracte Valentin. Ce soir elle avait très mal aux genoux. Elle espère que ses jambes vont rapidement s’habituer d’ici 1 ou 2 jours.

Elle était quand même contente car il n’y a pas eu de colline à grimper. Elle dit que ce qu’elle apprécie c’est l’arrivée et la satisfaction d’être allé au bout surtout si ca a été dur. Elle a du courage ma maman !!! En plus c’était sa fête aujourd’hui, bonne fête maman !!!

Pendant le trajet, nous sommes passés à Hradec Kralové, est l’une des plus anciennes villes de République Tchèque. Il y a une très jolie place, avec pleins de maison de couleurs différentes de style art nouveau et baroque.

 

Les Photos ici

Etape 4

12 Août 2014

Pardubice - Kolin (Rép. Tchèque)

Le lac

 

Valentin :

Ce matin le soleil est au rendez-vous et cela donne le moral à maman. Le temps d’un petit déjeuner et nous voilà à charger nos vélos, entre temps la météo a bien changé. Maintenant c’est couvert et la pluie commence à tomber. Alors il est l’heure de prendre la route, il est déjà 10h30…

Enfin le départ ! Pas pour longtemps, à peine sorti de l’hôtel arrêt brutal de papa. Son air perplexe me fait penser à un problème sérieux sur son vélo. En fait le problème c’est la carriole, le ressort du bras de liaison qui permet de l’accrocher au vélo a sauté. Il est venu se prendre dans les rayons de la roue arrière de papa. Heureusement papa s’est arrêté net, sinon cela aurait pu tout arracher ! Il faut essayer de le remettre sans trop tarder, papa y arrivera au bout de 5mn. Le ressort est tordu mais pas cassé, heureusement sinon l’étape aurait été neutralisée.        

Deuxième départ, il faut sortir de la ville pour attraper la bonne route et comme d’habitude s’est toujours très compliqué. Si on loupe la bonne piste cyclable au départ on peut se retrouver à pédaler pendant des kilomètres au milieu des voitures. Mon papa a son idée mais sur le chemin 2 jeunes filles à qui il demande confirmation de la direction choisie, nous oriente à l’opposé. Cette fois papa s’est trompé ! Demi-tour et nous voilà à traverser la vieille ville, qui est d’ailleurs superbe. Pour plus de sécurité papa demande à une dame qui lui dit que la direction est l’opposer d’où nous allons. Pour confirmer tout ça elle montre sur la carte de papa où nous nous situons. Effectivement, fausse route nous voilà à faire à nouveau demi-tour et nous voilà à notre point de départ… plus d’une heure après. Il  est 11h45 est nous n’avons toujours pas avancé d’un mètre. Le premier choix de direction de mon papa était bien le bon.

Sur le chemin nous empruntons des pistes cyclables le long de l’Elbe très agréables et cela me permet de rouler librement. Pratiquement 14h30, le soleil est revenu et nous nous arrêtons, par hasard, au bord d’un lac avec du sable blanc et quelques nudistes. Sur ce lac des tremplins et des bouées qui laissent à penser que c’est un centre d’entrainement pour des champions de ski nautique. A voir leurs démonstrations pas de doute, d’énormes sauts et des slaloms à grande vitesse.

Nous déjeunerons d’hamburger au camion du camping de ce lac. Nous repartons à regret pour une belle traversée d’une forêt. A moment nous loupons une bifurcation et nous voilà lancé au milieu du trafic de voitures qui roulent comme des malades. De toute façon il commence à être tard et maman commence à être un peu fatiguée... Nous serons à Kolin 19h00, la maison d’hôte choisie se trouve sur les hauteurs de la ville, Aïe maman ! Il va falloir que tu grimpes. La maison d’hôte est belle et les propriétaires très gentils.

20h45 nous allons dîner à 100 mètres dans un restaurant de quartier, il ya des bancs dehors. Nous on choisi l’intérieur, il doit faire 16 ou 17 degrés ce soir. En rentrant dans cette grande salle bruyante ou tout le monde parle très fort et boit de la bière, les gens se retournent pour nous regarder bizarrement. Il faut dire que comme il est tard nous n’avons pas pris le temps d’une douche et nous arrivons en cycliste rouge « Groupe Nice-Matin. La serveuse se met en quatre pour nous et quand à la fin du repas papa lui demande où il est possible de retirer du cash, elle propose à mon papa de se faire accompagner par un monsieur jusqu’au distributeur de billet. Ce monsieur lui prête un vélo, sans lumière, heureusement lui à une lumière sur le sien.  Les voilà tous les 2 partis dans la cité qui jouxte le restaurant. Papa suit de près son guide car il fait noir. Dans un dédale de barres d’immeubles, le distributeur se trouve au pied d’un grande tour. Papa retire les sous et ils reviennent tous les 2, dix minutes après au restaurant. On attendant la serveuse m’a donné des bonbons et une voiture car j’ai pleuré car je voulais accompagner papa.

Nous rentrons vers 22h45 fatigués mais très content de notre journée. Demain bonne résolution, comme nous devons faire au alentour de 65 km, papa et maman ont décidé de se lever à 7h00… histoire de partir raisonnablement tôt et ne pas arriver après 18h00 à notre prochaine étape de demain. On verra ca…

Ce matin le soleil est au rendez-vous et cela donne le moral à maman. Le temps d’un petit déjeuner et nous voilà à charger nos vélos, entre temps la météo a bien changé. Maintenant c’est couvert et la pluie commence à tomber. Alors il est l’heure de prendre la route, il est déjà 10h30…

Enfin le départ ! Pas pour longtemps, à peine sorti de l’hôtel arrêt brutal de papa. Son air perplexe me fait penser à un problème sérieux sur son vélo. En fait le problème c’est la carriole, le ressort du bras de liaison qui permet de l’accrocher au vélo a sauté. Il est venu se prendre dans les rayons de la roue arrière de papa. Heureusement papa s’est arrêté net, sinon cela aurait pu tout arracher ! Il faut essayer de le remettre sans trop tarder, papa y arrivera au bout de 5mn. Le ressort est tordu mais pas cassé, heureusement sinon l’étape aurait été neutralisée.        

Deuxième départ, il faut sortir de la ville pour attraper la bonne route et comme d’habitude s’est toujours très compliqué. Si on loupe la bonne piste cyclable au départ on peut se retrouver à pédaler pendant des kilomètres au milieu des voitures. Mon papa a son idée mais sur le chemin 2 jeunes filles à qui il demande confirmation de la direction choisie, nous oriente à l’opposé. Cette fois papa s’est trompé ! Demi-tour et nous voilà à traverser la vieille ville, qui est d’ailleurs superbe. Pour plus de sécurité papa demande à une dame qui lui dit que la direction est l’opposer d’où nous allons. Pour confirmer tout ça elle montre sur la carte de papa où nous nous situons. Effectivement, fausse route nous voilà à faire à nouveau demi-tour et nous voilà à notre point de départ… plus d’une heure après. Il  est 11h45 est nous n’avons toujours pas avancé d’un mètre. Le premier choix de direction de mon papa était bien le bon.

Sur le chemin nous empruntons des pistes cyclables le long de l’Elbe très agréables et cela me permet de rouler librement. Pratiquement 14h30, le soleil est revenu et nous nous arrêtons, par hasard, au bord d’un lac avec du sable blanc et quelques nudistes. Sur ce lac des tremplins et des bouées qui laissent à penser que c’est un centre d’entrainement pour des champions de ski nautique. A voir leurs démonstrations pas de doute, d’énormes sauts et des slaloms à grande vitesse.

Nous déjeunerons d’hamburger au camion du camping de ce lac. Nous repartons à regret pour une belle traversée d’une forêt. A moment nous loupons une bifurcation et nous voilà lancé au milieu du trafic de voitures qui roulent comme des malades. De toute façon il commence à être tard et maman commence à être un peu fatiguée... Nous serons à Kolin 19h00, la maison d’hôte choisie se trouve sur les hauteurs de la ville, Aïe maman ! Il va falloir que tu grimpes. La maison d’hôte est belle et les propriétaires très gentils.

20h45 nous allons dîner à 100 mètres dans un restaurant de quartier, il ya des bancs dehors. Nous on choisi l’intérieur, il doit faire 16 ou 17 degrés ce soir. En rentrant dans cette grande salle bruyante ou tout le monde parle très fort et boit de la bière, les gens se retournent pour nous regarder bizarrement. Il faut dire que comme il est tard nous n’avons pas pris le temps d’une douche et nous arrivons en cycliste rouge « Groupe Nice-Matin. La serveuse se met en quatre pour nous et quand à la fin du repas papa lui demande où il est possible de retirer du cash, elle propose à mon papa de se faire accompagner par un monsieur jusqu’au distributeur de billet. Ce monsieur lui prête un vélo, sans lumière, heureusement lui à une lumière sur le sien.  Les voilà tous les 2 partis dans la cité qui jouxte le restaurant. Papa suit de près son guide car il fait noir. Dans un dédale de barres d’immeubles, le distributeur se trouve au pied d’un grande tour. Papa retire les sous et ils reviennent tous les 2, dix minutes après au restaurant. On attendant la serveuse m’a donné des bonbons et une voiture car j’ai pleuré car je voulais accompagner papa.

Nous rentrons vers 22h45 fatigués mais très content de notre journée. Demain bonne résolution, comme nous devons faire au alentour de 65 km, papa et maman ont décidé de se lever à 7h00… histoire de partir raisonnablement tôt et ne pas arriver après 18h00 à notre prochaine étape de demain. On verra ca…

Ce matin le soleil est au rendez-vous et cela donne le moral à maman. Le temps d’un petit déjeuner et nous voilà à charger nos vélos, entre temps la météo a bien changé. Maintenant c’est couvert et la pluie commence à tomber. Alors il est l’heure de prendre la route, il est déjà 10h30…

Enfin le départ ! Pas pour longtemps, à peine sorti de l’hôtel arrêt brutal de papa. Son air perplexe me fait penser à un problème sérieux sur son vélo. En fait le problème c’est la carriole, le ressort du bras de liaison qui permet de l’accrocher au vélo a sauté. Il est venu se prendre dans les rayons de la roue arrière de papa. Heureusement papa s’est arrêté net, sinon cela aurait pu tout arracher ! Il faut essayer de le remettre sans trop tarder, papa y arrivera au bout de 5mn. Le ressort est tordu mais pas cassé, heureusement sinon l’étape aurait été neutralisée.        

Deuxième départ, il faut sortir de la ville pour attraper la bonne route et comme d’habitude s’est toujours très compliqué. Si on loupe la bonne piste cyclable au départ on peut se retrouver à pédaler pendant des kilomètres au milieu des voitures. Mon papa a son idée mais sur le chemin 2 jeunes filles à qui il demande confirmation de la direction choisie, nous oriente à l’opposé. Cette fois papa s’est trompé ! Demi-tour et nous voilà à traverser la vieille ville, qui est d’ailleurs superbe. Pour plus de sécurité papa demande à une dame qui lui dit que la direction est l’opposer d’où nous allons. Pour confirmer tout ça elle montre sur la carte de papa où nous nous situons. Effectivement, fausse route nous voilà à faire à nouveau demi-tour et nous voilà à notre point de départ… plus d’une heure après. Il  est 11h45 est nous n’avons toujours pas avancé d’un mètre. Le premier choix de direction de mon papa était bien le bon.

Sur le chemin nous empruntons des pistes cyclables le long de l’Elbe très agréables et cela me permet de rouler librement. Pratiquement 14h30, le soleil est revenu et nous nous arrêtons, par hasard, au bord d’un lac avec du sable blanc et quelques nudistes. Sur ce lac des tremplins et des bouées qui laissent à penser que c’est un centre d’entrainement pour des champions de ski nautique. A voir leurs démonstrations pas de doute, d’énormes sauts et des slaloms à grande vitesse.

Nous déjeunerons d’hamburger au camion du camping de ce lac. Nous repartons à regret pour une belle traversée d’une forêt. A moment nous loupons une bifurcation et nous voilà lancé au milieu du trafic de voitures qui roulent comme des malades. De toute façon il commence à être tard et maman commence à être un peu fatiguée... Nous serons à Kolin 19h00, la maison d’hôte choisie se trouve sur les hauteurs de la ville, Aïe maman ! Il va falloir que tu grimpes. La maison d’hôte est belle et les propriétaires très gentils.

20h45 nous allons dîner à 100 mètres dans un restaurant de quartier, il ya des bancs dehors. Nous on choisi l’intérieur, il doit faire 16 ou 17 degrés ce soir. En rentrant dans cette grande salle bruyante ou tout le monde parle très fort et boit de la bière, les gens se retournent pour nous regarder bizarrement. Il faut dire que comme il est tard nous n’avons pas pris le temps d’une douche et nous arrivons en cycliste rouge « Groupe Nice-Matin. La serveuse se met en quatre pour nous et quand à la fin du repas papa lui demande où il est possible de retirer du cash, elle propose à mon papa de se faire accompagner par un monsieur jusqu’au distributeur de billet. Ce monsieur lui prête un vélo, sans lumière, heureusement lui à une lumière sur le sien.  Les voilà tous les 2 partis dans la cité qui jouxte le restaurant. Papa suit de près son guide car il fait noir. Dans un dédale de barres d’immeubles, le distributeur se trouve au pied d’un grande tour. Papa retire les sous et ils reviennent tous les 2, dix minutes après au restaurant. On attendant la serveuse m’a donné des bonbons et une voiture car j’ai pleuré car je voulais accompagner papa.

Nous rentrons vers 22h45 fatigués mais très content de notre journée. Demain bonne résolution, comme nous devons faire au alentour de 65 km, papa et maman ont décidé de se lever à 7h00… histoire de partir raisonnablement tôt et ne pas arriver après 18h00 à notre prochaine étape de demain. On verra ca…

 

 Alizée :

Après un départ mouvementé pour sortir de la ville Pardubice, 1H15 pour trouver la bonne route, on sort de la ville à 11H45 et on avait plus de 50 Kms à faire… Pardubice est une ville industrielle, elle doit sa renommée à son industrie chimique qui produit l’explosif Semtex et à son hippodrome où se court un célèbre grand prix. 

Les paysages sont très jolis au bord de l’Elbe, dans chaque petit village ou nous passons il y a de très belles maisons d’architecture toutes différentes : anciennes, moderne… Les Tchèques ont du gout.

Nous traversons beaucoup de champ de tournesol et découvrons la campagne Tchèque. Par moment ça ne sent pas bon le fumier de vache… Nous avons fait plusieurs sortes de piste : goudron, chemin de terre, de cailloux. Maman trouve qu’elle roule plus vite sur les chemins caillouteux des forets que nous traversons, c’est moins monotones que les longues lignes droites d’asphalte avec en compagnies les voitures qui roulent très vite et ce goudron. C’était agréable de traverser la foret, plus reposant, moins bruyant, mais on a pas eu la chance de voir des animaux. Par contre il fallait faire attention aux orties au bord du chemin. Nous avons fait une halte déjeuné près d’un lac ou mon grand frère a pu se tremper les pieds, on serait bien resté tout l’après midi. Il y en avait qui se baignait.. tout nu ou qui faisait du wakeboard comme mon papa.

Sur le chemin nous avons rencontré un groupe de cyclo-randonneur comme nous avec des enfants, un peu plus grand que Titi, qui portaient sur leur vélo sacoches et sac à dos. C’est motivant pour les prochaines années…

Ca a été une journée encore un peu difficile pour maman, bon elle avait quand même plus de force dans les jambes mais la journée a été longue. Maman a dit qu’elle ne voulait plus avoir à tirer quoique ce soit (carriole, vélo…) trop lourd pour elle et aimerait investir dans un vélo électrique.

 

Pour ma part aussi ça été long, j’en avais un peu marre d’être dans la carriole vers la fin de l’étape.

Nous sommes arrivés à Kolin (fin de l’étape) à 19H30, mais il y avait encore 4,5kms pour arriver à notre hôtel. Sur les hauteurs trônent une magnifique église, l’église St Barthélemy.

Nous avons diné dans un restaurant populaire en plein cœur d’un quartier résidentiel ou nous logeons, c’était assez bruyant pour mes petites oreilles...

 

Les Photos ici